Retour du salon Tatou Juste

Les 23 et 24 novembre, Ocivelo par­ti­ci­pait au salon Tatou Juste une fois encore pour ren­con­trer et échan­ger avec le public sur les ques­tions de cycla­bi­lité dans la ville de Saint-​Étienne, voire dans la métro­pole. L’occasion de par­ta­ger les impres­sions sur la mise en œuvre du plan vélo, sur la sécu­rité des dépla­ce­ments et la conti­nuité des par­cours et de consta­ter que tant reste à faire !


Certains venaient de plus loin ( Montbrison par, exemple, voire d’autres villes de France et par­fois la com­pa­rai­son avec Lille, Nantes et même quelques plus petites était rare­ment à notre avantage…).

Salon tatou juste



D’autres visi­teurs sont inves­tis dans des col­lec­tifs cyclistes mili­tants dont le nombre semble crois­sant sur la métro­pole ou le dépar­te­ment.
Reste mal­heu­reu­se­ment un sen­ti­ment encore par­tagé par de très nom­breux visi­teurs : le manque de sécu­rité, l’absence de car­to­gra­phie des par­cours à la dis­po­si­tion des usa­gers pour la ville et la métro­pole, l’absence de sta­tion­ne­ment sécu­risé, la vitesse auto­mo­bile en ville sont le plus sou­vent évo­qués
Ils nous confirment sou­vent leur sou­tien appuyé au tra­vail des asso­cia­tions pié­tonnes et cyclables qui semblent béné­fi­cier d’une cer­taine renom­mée à tra­vers le suivi des amé­na­ge­ments comme celui de la place Massenet (qu’ils plé­bis­citent d’ailleurs) ou d’autres qu’ils iront décou­vrir bien­tôt quand le prin­temps sera là… on parle de saint Victor, de Sorbiers, la Talaudiere, Saint Jean Bonnefonds, Saint- Héand etc…



C’est l’occasion de leur faire connaître et signer la péti­tion qui est en cours à ce sujet ! L’occasion aussi de saluer quelques élus de bords dif­fé­rents et de leur rap­pe­ler les demandes d’aménagements que nous por­tons et pas seule­ment depuis le plan vélo !
Enfin, c’est l’occasion encore d’échanger avec des res­pon­sables asso­cia­tifs, des orga­nismes privés ou publics pour envi­sa­ger des pro­jets ou des ani­ma­tions auprès de publics spé­ci­fiques (per­sonnes à mobi­lité réduite, jeunes sco­laires, per­sonnes en inser­tion.
Bref, un temps dédié au futur de nos villes par­ta­gées et apai­sées , à la santé du plus grand nombre, à l’abaissement des pol­lu­tions de tous ordres !