L’Île de la Réunion, l’ouest à vélo

Retourné sur son île natale, un béné­vole d’Ocivélo redé­couvre L’Île Bourbon avec son bagage sté­pha­nois. Quelques lignes et images de ses pre­miers kilo­mètres insu­laires sont pré­sen­tés ci-après.

De Sainte-​Marie à La-Plaine-Saint-Paul

Passage de La Rivière des Galets

En deux jours, une balade aller-​retour pour rejoindre ma famille. L’occasion en un week-​end de faire un périple par La Montagne au départ de Sainte-​Marie. La tra­ver­sée de Saint-​Denis au petit matin m’a mis en jambe avant l’as­cen­sion du fameux bloc rocheux sépa­rant le Nord et l’Ouest de l’île.

Le plus déli­cat fût de trou­ver le sen­tier dans la ravine de La Rivière des Galets pour remon­ter sur Sans Souci. Une fois arrivé à bon port, douche, cari (repas typique) et sieste de deux heures m’ont remis sur pied ! Heureusement que c’est l’hi­ver aus­tral. Qu’est ce que ç’au­rait été en plein été…

À refaire avec plus d’en­traî­ne­ment : au total 3000 mètres de déni­velé posi­tif sur deux jours à vélo pour pra­ti­que­ment 120 km.

Tracé de l’i­ti­né­raire sur la carte de Graphhopper.

La-​Plaine-​Saint-​Paul à Saint-Gilles-l’Hermitage

Sur une autre date j’ai réa­lisé une balade sur la route Hubert Delisle entre La-​Plaine-​Saint-​Paul et Saint-​Gilles-​L’Hermitage.

De Saint-​Paul à Saint-​Pierre par « les hauts » – 11 sept.

Et voilà que je réa­lise en une mati­née l’en­semble de la D3, route Hubert Delisle, entre Bois-​de-​Nèfles-​Saint-​Paul et Saint-​Pierre. La deuxième partie, entre Trois bas­sins et les Avirons m’a beau­coup plut de part sa frai­cheur de végé­ta­tion, une route moins acci­den­tée et des ouver­tures sur le pay­sage plus fré­quents. La des­cente sur la D17 par la forêt « départemento-​domaniale » de l’Étang salé est splen­dide mais très emprun­tée par les véhi­cules à moteur. Tout le long l’aloe vera vous offre sa sève. La piste cyclable de l’Étang salé est très emprun­tée par les cyclistes, vive­ment que d’autres amé­na­ge­ments voient le jour.

De Saint-​Louis, le pas­sage dans la rivière Saint-​Étienne par la piste de la car­rière permet d’é­vi­ter la route. La vue de la décharge nous ramène à la réa­lité, que la nature perds sa place au bord des côtes. L’arrivée sur Saint-​Pierre face au vent fait oublier la fra­gi­lité de notre peau : coups de soleil assurés.

Diaporama

Vacances à vélo, tou­jours écolo